Newsletter de l’UNAPL Occitanie – Nº 31 – Septembre/Octobre 2023
RÉGION
Un territoire qui se refait une santé
En reprenant la pharmacie de Saine-Enimie en Lozère, Lola Pialot a conforté la présence dans le bourg d’autres professionnels, médecins et infirmiers, et contribué à l’attractivité de ce « Plus beau village de France »…
PARITARISME
Une première nationale
En élaborant un guide d’évaluation des risques psycho-sociaux, la CPRPL Occitanie a ouvert une voie facilitant le dialogue social entre les professionnels libéraux et leurs salariés…
CRÉATION
L’UNAPL soutient les jeunes autoentrepreneurs libéraux dans leur démarrage
Financer votre équipement médical
Face à un marché en croissance régulière liée à l’évolution des progrès techniques et au vieillissement de la population, les professionnels du secteur de la santé doivent régulièrement s’équiper en matériel médical neuf et être vigilants quant à l’obsolescence de leur équipement professionnel. C’est pour cela que Banque Populaire a mis en place une solution de financement souple et adaptable : le crédit-bail mobilier.
Quels sont les avantages du crédit-bail mobilier ?
Une liberté de choix concernant votre fournisseur Vous choisissez le matériel qui répond entièrement à vos besoins.
Un investissement sur-mesure
La durée de financement peut être ajustée à la durée d’utilisation de l’équipement.
Un investissement financé à 100% TTC
Votre trésorerie est préservée.
Des atouts fiscaux et comptables
Les loyers sont des charges d’exploitation déductibles du bénéfice imposable (2). C’est un engagement hors bilan : vous préservez votre capacité de financement.
(2) Selon la législation fiscale en vigueur et pour un financement 100% professionnel.
EDITORIAL
Les soignants souffrent aussi
Les professionnels de santé constituent une part importante du secteur libéral. Recevant, soignant ou opérant chaque jour des centaines de milliers de patients, ils sont au regard du grand public les plus représentatifs du monde libéral, même si certains d’entre eux exercent, souvent en partie, avec d’autres statuts.
Les professionnels de santé traitent la souffrance des autres. Ils souffrent aussi. L’actualité récente a relaté des événements tragiques à ce propos. Ils sont heureusement rares.
Cette souffrance, longtemps discrète et sous-estimée, éclate maintenant au grand jour. La crise sanitaire a été un révélateur des graves dysfonctionnements du secteur médical. Celui-ci n’est plus ce qu’il était : son manque d’attractivité est patent. Conséquence : on constate que beaucoup de jeunes médecins ou soignants font preuve d’une grande réserve à l’égard du secteur libéral qui, à leurs yeux, offre des perspectives devenues insuffisantes et insatisfaisantes.
La faiblesse des tarifs de consultation des médecins en secteur 1, soit l’immense majorité, les contraintes qui pèsent sur des conditions de travail entravées par la lourdeur administrative, la difficulté de concilier vie professionnelle et vie familiale, ont fait perdre beaucoup de prestige à ces professions.
Cet état de fait explique bien sûr la complexité de l’action à mener pour résoudre la difficile question de la désertification médicale. Le pire n’est cependant pas toujours inéluctable, comme nous l’évoquons dans ce numéro avec l’exemple lozérien.
Aidons les jeunes à retrouver la voie libérale, en leur rappelant que c’est celle du service, de la liberté et de l’accomplissement personnel.
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